mardi, août 01, 2017

Paris 2017 - 5

J'adore ce genre d'enseignes.
.
Anciennes maisons médiévales
.
Celle de droite
.
Celle de gauche
.


Fontaine Wallace
.
Nous arrivons à Paris Plage
.
Pas de sable cette année, pas de palmiers non plus.
.
Hôtel de Ville avec une colonne Morris
.

Les bouquinistes
***.

8 commentaires:

Thérèse a dit…

Le Paris éternel!

Miss_Yves a dit…

Un bel éventail des charmes de Paris!

Daniel a dit…

Coucou Claude.
Une enseigne qui vous renseigne! C'est le but de la chose.
Quelle balade avec tes potes, vous avez tout exploré.
Bises, belle journée, A +

Marie-Paule a dit…

Belles photos du Paris médiéval!
Mais tout est beau à Paris!
Belle journée Claude!

ELFI a dit…

je me ballade avec toi et c'est beau! biz

Mitou La Bretonne a dit…

Il y a bien longtemps que je n'étais plus à Paris
une belle visite à faire et à refaire !
gros bisous et bon mois d'août
MITOU

Luce a dit…

Bonjour Claude,
Paris, ce n'est pas que la Tour Eiffel et tu nous le prouves tous les jours avec ces lieux dont on ne fait pas assez attention quand on les côtoie. Ta curiosité me rend bien service car je les ignorais.
Bise, bon après-midi.

Tilia a dit…

Comme toi, j'adore l'enseigne aux crayons, qui est sans doute celle d'une papeterie.

Et comme dit Thérèse, c'est le Paris éternel que tu nous montres là. Celui des bouquinistes, des colonnes Morris (on en voit de moins en moins, hélas !) et des fontaines Wallace. En dehors de leur intérêt historique, les maisons à pans de bois et l'Hôtel de Ville ne présentent rien de bien nouveau.
Seul "Paris plage" sans le sable m'a un peu étonnée.
Et puis, j'ai remarqué l'affiche apposée au-dessus de la bouche de métro, sur ta photo des bouquinistes : juste un visage et un nom "John Hamon". Qui c'est, celui là ?...

D'après cet article, il s'agit d'un jeune blanc-bec dont le seul intérêt dans la vie semble résider dans le fait de faire parler de lui tout en s'abstenant de révéler quoi que ce soit sur sa personne.

Il parait que depuis quinze ans il colle chaque semaine des centaines d'affiches de son portrait dans Paris. Mais jusqu'à présent je n'en ai jamais vu une seule. Et sans ta photo, j'aurais continué à ignorer le phénomène :-)

En allant faire un tour sur son site, je suis atterrée par le degré de pollution visuelle de toutes ses affiches et par le caractère présomptueux de la démarche de celui qui se dit artiste tout en parlant de "degré zéro" !!!

Bises et merci pour ce reportage instructif