Une petite série avant de partir se changer les idées. Mon Chéri et moi partons une dizaine de jours et je ne sais si je pourrais me connecter.
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Je vais quand même emporter mon petit ordi portable au cas où je pourrais me connecter.
Je vous dis donc à bientôt et en attendant, portez vous bien !
Une ou deux publications programmées dans le milieu de la semaine prochaine.
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Mardi, nous sommes allés au Mans pour plusieurs choses.
Entre autres, dans un magasin spécialisé en loisirs créatifs, j'ai trouvé mon bonheur pour faire les yeux et le nez d'un petit nounours que je fais en laine (à voir plus tard) et je suis tombée sur quelque chose dont j'avais rêvé longtemps, sans jamais l'avoir obtenu.
Lorsque j'étais môme, à l'âge de 9 ou 10 ans, j'avais accompagné mes Grands Parents en Normandie, à Courseulles sur mer, le pays de mon Pépé. Nous y avions rencontré des gens de connaissance dont un Monsieur qui tenait un magasin de cycles, mobylettes et autres scooters.
Je me souviens très bien de ce beau Vespa rouge vermillon avec des chromes reluisants qui protégeaient les cache moteurs. Avec la fille de la maison, Monique, nous l'avions enfourché toutes les deux pour un tour "virtuel", comme si nous étions dans les rues de Rome.
Ma vie en a décidé autrement, je ne me suis jamais acheté un beau Vespa rouge, jusqu'à mardi dernier où j'en ai finalement trouvé un.
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Après un hivernage dans la maison de verre,
toutes les jardinières de fenêtres et pots de fleurs sont en place pour la belle saison.
Le bel Ange que m'a offert mon amie de Paris, Catherine, a retrouvé la sienne également.
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On pouvait penser que suite à l'abattage des peupliers voisins, les chevreuils ne reviendraient plus dans la peupleraie, ben non !
Il y a trois matins
Il y en avait un deuxième que je voyais bouger derrière les branchages.
Vous remarquerez la couleur du pelage qui mue.
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J'aime beaucoup la couleur de ces tulipes.
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Ces jolies petites pensées m'avaient été offertes par mon Chéri dans un petit panier bleu. Je les ai plantées au pied de la porte de son petit atelier, et curieusement, une touffe plus grosse a poussé un peu plus loin parmi des muscaris. Point de photo car certaines fleurs étaient déjà fanées.
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J'ai rapporté ce lilas de chez ma cousine de Bois Colombes il y a une dizaine d'années, cousine chez qui j'avais dormi une nuit que j'étais allée à Paris sur deux jours. Il n'était pas bien gros. Nous l'avions planté dans un pot dans lequel il est resté jusqu'à l'année dernière où nous l'avons mis en terre. Il était grand temps car il ne fleurissait plus beaucoup.
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Si vous voulez connaître la suite et
peut-être la fin de l'histoire des feuilles, c'est là
Bonne lecture !
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, avec remplissage du grain dans une benne stationnée juste derrière la maison. Ce devait être une petite vengeance pour lui avoir envoyé les Képis parce qu'il n'arrêtait pas d'arroser chez nous, d'autant qu'une fois l'eau était rentrée dans une chambre de l'étage car la fenêtre était ouverte. Cela faisait des années que ça durait et le jour où l'eau est tombée tout près de la maison en éteignant nos deux côtes de porc qui cuisaient sur le BBQ, ce fut la fois de trop.
Malgré un temps pas très printanier,
les coucous ont bien poussé
et il sont de plus en plus nombreux.
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Pour celles et ceux que ça intéresse,
vous trouverez l'histoire de la peupleraie voisine
sur mon autre blog.
Elle apparaîtra en deux épisodes.
Bonne journée et à plus tard ici.
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J'ai été très occupée mardi après-midi et hier absente toute la journée, aussi je n'ai pu être présente sur vos blogs.
Ce matin, je vais écrire sur ce que nous vivions depuis plus de 20 ans avec cette maudite peupleraie, comme pour oublier les galères que nous avons rencontrées et qui donnaient à mon Chéri l'envie de quitter les lieux.
Voici quelques photos qui ne sont pas les plus parlantes...
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Nous avons connu pire.
A demain !
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J'aime voir ces visiteurs du matin
C'était il y a deux trois matins.
Je le les verrai plus dans la peupleraie,
elle a été abattue hier, entièrement.
Depuis leur récolte en Octobre dernier, elles étaient stockées dans une cagette en bois, dans un placard du garage, dans le noir et encore terreuses.
Nous avons mangés les 3 dernières, je devrais dire, les 2 et demi , car une était abimée.
Quelques cuites à la friteuse
et le reste en écrasé, rien que pour moi.
Contrairement à la pomme de terre,
la patate douce cuit plus vite.
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Ce qui suit n'a rien à voir avec cette photo, c'était juste pour mettre cette photo. Vue de l'étage derrière la maison. Je crois que c'est la première fois que je vois tout jaune dans ces champs.
C'est surtout pour annoncer
que j'ai publiée sur mon autre blog.
Je vous souhaite un excellent Dimanche.
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