Il y a des fermetures qui vous retourne un peu.
Quand j'étais ado, avec Copine et les Potes, nous allions souvent au Café de l'Ouest boire un verre, lorsque nous nous y retrouvions les jeudis, cela nous changeait du lycée.
Malheureusement, je n'ai pas de photo de cette époque.
Monsieur et Madame Boutard, des gens charmants, ont laissé leur place à un nouveau propriétaire qui portait le nom d'un célèbre coureur cycliste Louison Bobet, si j'ai bonne mémoire.
Puis à son tour il a laissé la place à un établissement franchisé et le nom "Café de l'Ouest a disparu pour "Comme à la maison".
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J'y suis allée avec Copine boire un thé, il y a quelques années, ce n'était déjà plus le café que nous avions connu, l'intérieur était meublé de chaises et de banquettes de style, je dirai, Louis XV.
Puis, il n'y a pas si longtemps, fin 2021, j'avais remarqué un changement de nom sans savoir à cette époque si il y avait eu changement de propriétaire. Je viens de lire que oui.
"Le Château des VI Sens". Quel nom à la gomme !
Réveillez-vos papilles au restaurant « Le Château des VI ...
Ils étaient deux à tenir l'établissement, soit disant restaurant gastronomique. Hé ben, ça n'a pas duré longtemps !
C'était tellement mieux du temps du Café de l'Ouest, tellement plus convivial.
***
10 commentaires:
J'ai bien connu , moi aussi.
Tous les matins entre 1965 et 1970 , j'y prenais mon chocolat en attendant que la poste ouvre pour aller chercher le courrier de la boîte pour laquelle je travaillais.
Bons souvenirs de Mr et Mme BOUTARD.
Nostalgie ...... quand tu nous tiens !!!!
Bises.
MOMO
@ Momo
Déjà "Comme j'aime", je n'avais pas aimé.
Comme je voudrais que quelqu'un reprenne les lieux en les renommant Café de l'Ouest.
Merci Momo de ton passage et de ton commentaire qui me fait bien plaisir.
Bises
Coucou Claude.
Oui quel nom à la gomme !
"Le Château des VI Sens" Je ne vois là aucune signification, je ne suis plus dans le coup sans doute ?
J'ai trouvé cela :"Intuition éprouvée de telle manière à avoir une capacité d'anticipation exceptionnelle qui ne peut trouver une explication rationnelle avec l'usage de nos cinq sens habituels."
Bon! J’espère que la popote est à la hauteur ?
Bonne fin de semaine, A +
... j'ai hormis ..
Super d'avoir des cartes anciennes pour comparer avec le présent!
Bises, A +++
Passé /présent en images.
"Comme j'aime" ou "comme à la maison"?
Pour qui sont ces six sens qui sifflent sur nos têtes ?
Ce sera peut-être un bien que cela ferme. Cela donne une chance à l'établissement de repartir sur de meilleures bases, plus simples mais plus conviviales. Même si cela ne sera plus jamais... comme avant...
Bises
Bonjour Claude, merci pour ce délicieux instant vintage comme une madeleine de Proust qui fait fit du temps qui passe. Monsieur et Madame Boutard seraient émus de te lire.
Tut change mais rarement en mieux ! espérons que le sixième sens soit le dernier et qu'il retrouve un peu son originalité !
bises Claude c'est dur de voir les lieux qu'on aimait ainsi malmenés
C'était plus convivial du temps du Café de l'Ouest parce que les gens qui le fréquentaient se parlaient plus facilement, que les prix étaient plus abordables pour les petits salaires et que le/les patron(s) étaient plus à l'écoute car sans doute moins préoccupé(s) par leur chiffre d'affaire.. Bref, c'était une autre époque !
Et j'oublie le décor : rien de plus dissuadant pour moi qu'un endroit qui s'affiche chic et "dans le vent" :-/
Bises, bien venteuses ici, ça fait du bien !
Bonjour Claude, c'est vrai que l'on est toujours nostalgique des endroits que l'on a connu, il y avait l'endroit, mais il y avait aussi les gens qui donnaient l'âme de cet endroit, ces gens ne cherchaient pas la richesse, simplement une vie simple et heureuse. Tu sais moi aussi dans ma région j'ai connu aussi ce genre de café ou on aimait ce retrouver, il y avait même le café chez Maurice, qui le samedi soir et le dimanche après midi faisait venir des orchestres locaux pour que les jeunes viennent danser, que de beaux moments et toujours dans le calme et le respect.
Passe un beau week-end.
Amicalement.
Claude
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